C’est bien connu : on choisit pas sa famille, on choisit pas non plus les trottoirs de Manille, de Paris ou d’Alger… (Maxime sors de ce corps !), mais surtout chers lecteurs, on choisit pas son chef d’agence !
[1]Je ne sais pas vous, mais moi j’ai souvent changé d’agence pour cause d’incompatibilité d’humeur avec ma (ou mon) chef !
A contrario, une bonne harmonie avec la hiérarchie fait, entre autres choses bien sûr, partie des avantages et parfois du bonheur du job.
Au cours de ma petite carrière (je n’ai que 28 ans après tout), j’ai pu ainsi découvrir plusieurs styles de management. Des exemples ?
La chef systématiquement busy (genre wonder woman), qui cherche la perfection tant dans son rôle de maman et d’épouse que dans sa vie professionnelle…
La chef acariatre (style chienne enragée), qui, mal dans sa peau, en veut à la terre entière et particulièrement aux collaboratrices alentour…
La chef mégalo (genre me, myself and I), qui compte avant tout sur ses collaborateurs pour assurer son train de vie fastueux…
ou même la chef glandeuse, qui (sous prétexte de déléguer, tiens), n’en fiche pas une ramée…
Bon. Bien sûr on pourrait continuer comme ça (si vous aussi vous avez des spécimens rares, postez un commentaire ! ), car le tourisme n’échappe pas, malheureusement, à la caricature de tous les milieux professionnels.
Sur ce, allez, je vous embrasse tous bien fort.
Julie Labrune. 28 ans
Conseiller en Voyages